L’histoire des mines de charbon par nos hommes d’Agadir et du Sud
Posté : 14 sept. 2022, 16:26
Je voudrai vous parler de ces vaillants jeunes d’Agadir et du sud qui rêvent d’un emploi en France.
Un certain Mora Félix était chargé de recruter des jeunes personnes capables de travailler aux mines de charbon. Il leur dit …qu’ils seront embauché au « faghr » qui veut dire en Tachelhit-Berbère …charbon de bois. Ces jeunes pensaient créer et remplir les sacs comme ce que nous faisons ici et au sud marocain.
Une fois choisis, les jeunes subissent un cache-tampon sur la poitrine et sur le dos.
Il avait envoyé en France des milliers de ces gaillards qui atterrissaient aux fonds des mines de charbon. Ces jeunes ne savaient jamais ce qui est la silicose, ni les risques qui les attendaient.
Après un moment, ils ne savaient pas qu’ils n’ont pas de contrat, ni accès aux soins comme leurs amis européens.
Ces amis-là, leur auraient « ouvert » l’œil et de passer à l’action des grèves pour être à la même hauteur que les autres.
Une fois les mines fermées, nombreux marocains gadiris et Sud du Maroc sont restés en France.
Nombreux se sont mariés en France et en Belgique. Très, très peux sont encore vivants à ce jour.
J’ajouterai que plusieurs chansonniers du Sud, relataient cette épopée de « Mora ya Mora »
Personnellement, j’ai eu une occasion de « voir » cet homme Mora à la Ville Nouvelle près de l’hôtel Marhaba et au garage Castanio au Quartier Industriel, là où il avait déposé son véhicule pour une révision.
Je vous montre ces mines de charbon ...qui n'existent plus. La technique dépasse ce que nous allons voir sur ce film.
Lahsen Roussafi
https://youtu.be/JLnFay3oICY
Un certain Mora Félix était chargé de recruter des jeunes personnes capables de travailler aux mines de charbon. Il leur dit …qu’ils seront embauché au « faghr » qui veut dire en Tachelhit-Berbère …charbon de bois. Ces jeunes pensaient créer et remplir les sacs comme ce que nous faisons ici et au sud marocain.
Une fois choisis, les jeunes subissent un cache-tampon sur la poitrine et sur le dos.
Il avait envoyé en France des milliers de ces gaillards qui atterrissaient aux fonds des mines de charbon. Ces jeunes ne savaient jamais ce qui est la silicose, ni les risques qui les attendaient.
Après un moment, ils ne savaient pas qu’ils n’ont pas de contrat, ni accès aux soins comme leurs amis européens.
Ces amis-là, leur auraient « ouvert » l’œil et de passer à l’action des grèves pour être à la même hauteur que les autres.
Une fois les mines fermées, nombreux marocains gadiris et Sud du Maroc sont restés en France.
Nombreux se sont mariés en France et en Belgique. Très, très peux sont encore vivants à ce jour.
J’ajouterai que plusieurs chansonniers du Sud, relataient cette épopée de « Mora ya Mora »
Personnellement, j’ai eu une occasion de « voir » cet homme Mora à la Ville Nouvelle près de l’hôtel Marhaba et au garage Castanio au Quartier Industriel, là où il avait déposé son véhicule pour une révision.
Je vous montre ces mines de charbon ...qui n'existent plus. La technique dépasse ce que nous allons voir sur ce film.
Lahsen Roussafi
https://youtu.be/JLnFay3oICY